Ourouër-les-Bourdelins

La commune tire son nom du mot « oratorium » qui doit avoir pour racine « Orare » (prier) et « Ouir » qui signifie « l’on prie » ou « l’on entend prier ». Jusqu’en 1602, elle prend le nom d’Ourouër le Chambrier, le « Chambrier » étant l’intendant du prieuré de La Charité sur Loire.

C’est sous l’occupation romaine que furent captées les eaux de la fontaine de Traslay pour les acheminer par un aqueduc de 36 km de long jusqu’à Avaricum. Le château d’Ourouër date du XIIème siècle. Au XVIème siècle, lors des guerres de religion, il subit de graves dommages. Ourouër fut chef-lieu de canton jusqu’en 1826.

La commune accueille plusieurs commerces et activités artisanales comme : Une boulangerie, une pâtisserie, un salon de coiffure, un tabac-presse, La Poste, une alimentation générale, un Tabac-presse, des chambres et tables d’hôtes, un café-hôtel-restaurant, une location de salles de réception au château de Chalivoy, une station de distribution de carburant 24h/24, entreprises du bâtiment, de transport, carrelage, une coopérative agricole, étude et réalisation de matériel pour le montage des flexibles hydrauliques, taxi, photographe d’art.

Ourouër-les-Bourdelins dispose d’une école primaire et maternelle, d’une cantine scolaire.

Le captage de La Bodaize alimente 25 communes en eau potable. Un lavoir des années 1891 est en cours de réhabilitation.

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